Couteau nakiri japonais artisanal Yoshimi Kato Minamo SG2 Tsuchime 16cm
Un très beau couteau, parfait pour couper efficacement vos légumes
Kato fut l'élève de très grands maîtres forgerons comme Hiroshi Kato
Lame San Maï 16cm cœur acier poudre SG2 : tranchant qui tient longtemps
Tsuchime (martelage) unique avec de magnifiques rosaces superposées
Aiguisage facile même si la dureté est très importante : -+63 HRC
Manche en bois de rose forme octogonale - Mitre bois de pakka rouge
Chaque couteau est unique : fabriqué à la main de façon traditionnelle
339,90 €
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Fiche technique
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Un couteau nakiri est un couteau de forme typiquement japonaise. Il est fait pour couper les légumes avec précision et rapidité. Ce couteau nakiri Yoshimi Kato Minamo Tsuchime SG2 va donc vous permettre de vous occuper de vos choux-fleurs, vos brocolis, vos poivrons et autres en toute quiétude. En plus d'une découpe facilité et intuitive, il vous permet de déplacer délicatement les morceaux d'aliments découpés de la planche à un contenant, grâce à sa large surface en acier.
Une lame de compétition :
Elle est construite à partir d'une structure San Mai, c'est à dire qu'elle présente 3 couches d'aciers qui s'alternent, comme le ferait un début de damas.
L'acier poudre SG2 est au cœur du couteau. Cet acier de qualité est onéreux mais présente de vrais atouts ! On apprécie sa dureté d'environ 63 HRC sur l'échelle de Rockwell : cela lui assure de garder sa qualité de coupe durablement. Ensuite, même s'il est très dur, l'alliage SG2 est tout à fait aiguisable, même par les novices en la matière. L'entretien se fait à la pierre à aiguiser quand vous sentez que le couteau a perdu de sa superbe !
Notez aussi que si l'on se penche à un niveau d'analyse microscopique, cet alliage présente une base pure. Cela veut dire qu'il est homogène, ce qui le rend plus résistant (il y a par exemple moins de risque d'ébréchure).
De l'acier inox plus doux que le SG2 vient l'entourer, pour le protéger. Cette différence d'acier se voit à la base de la lame : vous pouvez voir un fil fin qui fait une vague le long de sa surface.
Sur la partie supérieure de la surface de coupe se dévoile un magnifique martelage en rosace : du jamais vu ! Les rosaces se croisent avec des lignes déliées raffinées. Cela donne beaucoup de caractère au couteau et attire inévitablement l’œil.
Pour garantir de très bonnes découpes, la lame est aiguisée à la main. Les kanjis à sa surface y sont gravés à la main.
Un manche agréable pour tous les cuisiniers :
Créé en beau bois de rose, il arbore de belles nuances sombres aux tons chauds qui varient d'un modèle à l'autre. C'est un bois dense qui présente tout de même un grain fin et agréable. On apprécie aussi le fait qu'il résiste bien à l'humidité. Une mitre en bois de pakka vient lier le bois de rose avec la superbe lame. Le bois de pakka (ou Pakkawood) est un matériau composite qui mélange le bois lamellé avec de la résine. Le résultat est dur et résistant, aux coups et à l'humidité.
De la pâte à bois vient combler l'espace où la lame et le manche se rencontrent, ce qui préserve l'intérieur de l'eau ou des morceaux d'aliments découpés.
La forme octogonale du manche vient épouser la forme de votre paume, pour un contrôle marqué du couteau lors de vos usages. Les droitiers comme les gauchers peuvent l'utiliser.
Entretien de votre beau couteau japonais :
Il faut que le couteau soit lavé à la main, et qu'il ne soit ni passé au lave-vaisselle, ni mis à tremper dans l'évier. Dès que vous avez fini de le laver, essuyez-le avec un chiffon doux avant de le ranger au sec. Il ne faut pas le laisser au contact de l'humidité sur une durée prolongée.
Et le forgeron dans tout ça ?
Yoshimi Kato San est une personnalité réputée travaillant au village coutelier de Takefu. Le fait que le couteau soit forgé en ce lieu est une vraie preuve d'authenticité supplémentaire, le lieu étant connu pour être une place forte du forgeage traditionnel. En effet, il réunit de nombreux forgerons qui travaillent encore de façon traditionnelle, selon des méthodes héritées des forgerons d'antan qui créaient les célèbre épées japonaises.
Pour en revenir à Kato san, il a été formé par les meilleurs, notamment Hiroshi Kato San (son beau-père), coutelier très respecté. D'ailleurs, Hiroshi san est l'un des plus grands maîtres forgerons de la zone. Il a créé des couteaux presque chaque jour pendant près de 50 ans et est maintenant à la retraite. Il est aussi l'un des membres fondateurs du village coutelier de Takefu !
Yoshimi continue de créer les couteaux de son maître tout en ayant repris son atelier. Il forge aussi ses propres lignes de couteaux. Il se forme d'ailleurs sur le tard, en 2013. Très talentueux, il assimile très vite le métier.
(Hiroshi san à gauche, Yoshimi san à droite)
Le choix de couteaux artisanaux japonais se fait sur notre site !