Couteau nakiri japonais artisanal Wusaki Yoshi G3 honoki 16,5cm
Un très bon couteau pour découper vos légumes avec précision
Lame 16,5cm structure San Maï : 3 couches d'aciers alternées
Noyau acier Ginsan japonais (0,95% de carbone) + Couche en inox
Surface de coupe finement martelée, qui apporte du caractère
Solidité Rockwell 59/60 HRC - Tranchant facile à aiguiser
Mitre noire en bois de Pakka + pâte à bois pour la fixer
Manche en bois de Honoki poli - Forme ovale agréable en main
Fabriqué au Japon par Tsunehisa
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Fiche technique
Accessoires
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Couteau santoku japonais artisanal Wusaki Yoshi G3 honoki 16,5cm
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Les couteaux Wusaki Yoshi sont fabriqués par le forgeron japonais Tsunehisa, qui réunit une petite équipe d’experts hautement qualifiés dans le secteur de la coutellerie.
La lame :
Elle est conçue sur une base San Maï, c'est à dire qu'elle se base sur 3 couches d'aciers qui s'alternent.
Au centre, nous avons un cœur en acier Ginsan : cet acier japonais présente 0.95% de carbone, pour que le fil soit plus dur, plus rigide, et donc qu'il tienne mieux son tranchant sur la durée. Il dispose d'un taux de chrome élevé, pour être plus résistant au devant de la corrosion, ce qui est appréciable dans un milieu comme celui de la cuisine. Il atteint une dureté de 59/60 HRC sur l'échelle de Rockwell, cela lui permet de garder un bon compromis entre facilité d'aiguisage et maintien du tranchant. Vous pouvez tout simplement utiliser une pierre à aiguiser quand le besoin se fait sentir.
Par la suite, le noyau en Ginsan est entouré d'une couche d'acier inoxydable qui vient le prendre en sandwich (d'où les 3 couches comptées). Cela permet de le protéger et d'apporter plus de souplesse à l'alliage, pour qu'il soit moins cassant au cours des utilisations. La différence entre les aciers se voit sur le bas de la lame : une petite vague vient parcourir le fil de coupe et marque le changement d'alliage.
De beaux kanji ont été gravés finement sur la lame, pour toujours plus d'authenticité. Enfin, le couteau a été martelé de façon originale, on peut y voir de jolis motifs piquetés, comme si des gouttes d'eau avaient éclaboussées la surface de coupe.
Le manche :
Par la suite, une mitre en bois de Pakka vient faire le lien entre la lame et le manche. Le Pakkawood est un matériau composite réputé pour sa résistance et sa durabilité. Il est constitué de résine et de bois compressé : ce mélange résiste bien à l'humidité, aux variations de température et aux chocs.
De la pâte à bois vient combler l'espace entre le bois de Pakka et la lame, pour rendre le tout étanche et hygiénique (les aliments ne pourront pas s'insérer dans ce petit espace).
Du bois de Honoki vient terminer le couteau. Ce bois léger et poli est agréable en main, même en l'utilisant sur la durée. Sa forme ovale permet au cuisinier droitier ou au cuisinier gaucher de l'utiliser facilement.
Entretien : il faut laver le couteau à la main (sans trop insister sous l'eau sur le manche), et ne pas le passer au lave vaisselle. Il ne faut également pas laisser le couteau à tremper dans l'évier. Puis, une fois lavé, vous pouvez l'essuyer avec un chiffon doux avant de le ranger, pour effacer toute trace d'humidité. Comme cela, vous pourrez apprécier son aspect originel durablement.
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