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Cœur en Aogami 2 + couche de fer : lame San Maï (3 couches)
Très bonne tenue du tranchant : dureté 62 HRC (1,2% de carbone)
Alliage facile à aiguiser à la pierre lorsque cela est nécessaire
Finition brute de forge : authenticité marquée - Forgé à la main
Mitre en Pakkawood rouge + manche ovale en bois de Morado
Nécessite un entretien particulier dû à l'acier carbone (voir ci-dessous)
Fabrication artisanale par Kosuke Muneishi - Chaque pièce est unique !
119,90€
Indisponible
Matière | Acier Carbone |
Manche | Morado |
Lave-vaisselle | Non |
Ce couteau Kiritsuke Wusaki Yuzo BS2 présente une forme typiquement japonaise ! Comme le couteau de chef, il est polyvalent et permet de couper, hacher, ciseler, émincer différents aliments. Ce qui fait sa différence est sa pointe très marquée à l'effigie des sabres traditionnels japonais !
L'histoire :
La forge Muneishi est fondée en 1955 par Hirotaka Muneishi san, qui faisait partie de la seconde génération de forgeron de sa famille. L'activité principale était la fabrication d'outils, haches et machettes entre autres. C'est à partir de la troisième génération de forgeron que la famille se tourne vers les couteaux de cuisine : Kosuke Muneishi repris le travail familial et réalise toutes les étapes de fabrication lui-même à savoir la forge, la trempe, le martelage et l'aiguisage.
Point important : la production de ces couteaux est artisanale, de ce fait les stocks sont limités et les délais de réapprovisionnement variables.
La lame :
La structure de la lame est appelée San Maï, c'est un terme japonais qui signifie qu'une lame est composée de 3 couches qui se superposent : un noyau, souvent très dur, puis une couche de protection qui se replie par dessus (d'où les 3 couches observées). Cette démarcation se distingue sur le bas de la lame où on peut voir une alternance d'aciers, grâce notamment à la différence de couleurs.
Ici, le noyau est en Aogami 2 (appelé aussi Blue #2 Steel). Cet alliage est produit et conditionné par les aciéries Hitachi, très réputées au Japon et qui fournissent de l'acier à bon nombre de fabricants de couteaux.
Le taux de carbone présent dans cet alliage est de 1,2%, un taux supérieur à la moyenne que l'on retrouve dans les couteaux occidentaux (environ 0,5%). Ce taux élevé rend l'acier plus rigide ce qui permet ensuite de l'aiguiser de manière plus poussée. Le tranchant en est grandement amélioré, vos découpes sont nettes et précises à chaque utilisation. Lors de l'entretien de votre couteau, il est essentiel de le faire avec une pierre dont le grain est adapté !
Ce cœur est ensuite entièrement enveloppé d'une couche de fer doux. Le fer vient apporter de la souplesse à la lame afin de la rendre moins cassante pendant l'utilisation (ici, la souplesse n'est pas question de flexibilité).
Les finitions :
De superbes kanjis ont été gravés sur la surface de coupe apportant toujours plus d'authenticité au couteau ! Aussi, la lame possède une finition appelée brute de forge, c'est un trait qui plaît particulièrement aux chefs japonais car il apporte un côté plus traditionnel.
Le manche :
Pour commencer, on aperçoit la mitre en bois de Pakkawood rouge. Le Pakkawood est un matériau composite très apprécié dans le milieu culinaire. En effet, ce dernier est constitué de bois laminé et de résine compressés à chaud, c'est un matériau résistant notamment au devant de l'humidité et des variations de température. On peut aussi voir quelques veines similaires à celles du bois, donnant un aspect naturel.
Le bois de Pakkawood est prolongé par du bois de Morado qui vient constituer le manche du couteau. Cette essence exotique haute gamme dispose de teintes chaudes très agréables. Les veines du bois sont uniques sur chaque pièce !
Afin de combler l'espace vide entre la lame et la mitre, de la pâte à bois est rajoutée pour rendre le manche étanche. Cela va ainsi éviter que des déchets ne puissent s'insérer à l'intérieur pour rendre le tout hygiénique.
Le manche est de forme ovale, il permet une utilisation ambidextre. Le tout reste léger et facile à manier.
Comment entretenir mon couteau ?
Notez que la lame est sensible à l'oxydation (le carbone comme le fer sur la face externe). Il faut donc laver le couteau à la main, sans le faire tremper dans l'évier. Après lavage, essuyez-le avec un chiffon doux pour effacer toute trace d'humidité. Notez toutefois qu'il peut varier en couleur sur la durée, même si vous y faites très attention. C'est une évolution normale de l'alliage, (le couteau étant en contact constant avec des aliments humides, et l'humidité se trouve également dans l'air ambiant...). Vous pouvez passer une huile minérale sur l'acier de temps en temps.
La lame arrive légèrement huilée. C'est tout à fait normal, cela permet de la protéger. Il suffit juste de laver le couteau avant le premier usage pour qu'elle disparaisse.
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