Couteau nakiri japonais artisanal Wusaki Yaketa AUS10 damas 16,5cm

Optez pour le couteau nakiri Wusaki Yaketa AUS10 16,5cm afin de réaliser de belles découpes sur vos légumes. Ce modèle présente une forme typiquement japonaise. Avec sa large surface rectangulaire, il coupe avec efficacité et rapidité, dans un mouvement naturel. Vous pouvez même utiliser sa lame pour déplacer les aliments coupés de la planche à votre poêle par exemple (délicatement bien sûr).

Ce couteau japonais est fabriqué par la coutellerie japonaise Tsunehisa. Ces derniers sont à la fois efficaces, durables et visuellement très sympathiques. Ils vous permette de bénéficier de la qualité japonaise à prix intéressant !

Des matériaux haut de gamme

Ce couteau de cuisine présente une lame damassée. Cette structure que l'on retrouve beaucoup au Japon se base sur un noyau assez rigide, et qui par la suite est entouré de plusieurs couches d'acier moins dures. Cette superposition des aciers a déjà un vrai impact visuel : les aciers qui s'entremêlent créent de jolies vagues et aucune ne se ressemblent entre deux modèles. Ensuite, au delà d'une esthétique originale, le damas propose de vrais avantages structurels.

Le noyau, avec sa rigidité, permet d'avoir un fil de coupe tranchant et durable tandis que les couches supérieures, du fait de leur plus grande "souplesse", équilibrent ce noyau rigide et le rendent moins cassant à l'usage.

Du coup, en guise de noyau on retrouve l'alliage japonais AUS10. Cet acier inoxydable comporte environ 1,05% de carbone, et il est également enrichi en nickel, en vanadium et manganèse. Le carbone est un élément important qui joue directement sur la rigidité de l'acier. Plus le taux de carbone est élevé, plus l'acier sera rigide et plus il tiendra son tranchant longtemps. Ensuite, le vanadium aide à la formation de carbure au sein de l'alliage, les carbures aidant à réaliser l'aiguisage. Un acier empli de carbure présentera donc un aiguisage plus aisé.

Les éléments complémentaires cités ci-dessus permettent d'ajouter une petite "flexibilité" au tout, pas au sens pur mais plutôt pour lui éviter d'être trop cassant (vu que le noyau est assez rigide et encaisse donc un peu moins les chocs qu'un acier plus "doux").

On apprécie aussi son taux de chrome qui permet au couteau de mieux résister à l'oxydation.

Pour poursuivre la structure damassée, le noyau est entouré de plusieurs couches d'acier qui viennent le prendre en sandwich et viennent lui ajouter de la résistance et de la souplesse, comme dit précédemment.

La lame présente une belle finition polie, comme un miroir, ce qui permet d'augmenter sa résistance à la corrosion. En plus de cela, on aime aussi sa surface martelée, pour créer du contraste et donner du caractère à la lame. Le martelage agit également un peu à la manière des alvéoles, pour que la lame adhère moins aux éléments coupés.

Le manche est un vrai élément visuel : il est fabriqué en chêne, un bois à l'épreuve du temps (ce qui explique pourquoi il est beaucoup utilisé pour la création de mobilier, par exemple). C'est une essence qui résiste également bien à la condensation et l'humidité, ainsi qu'aux chocs et aux vibrations (il ne va pas se déformer facilement).

Le manche a été brûlé (c'est la partie plus sombre). Cela lui donne encore plus de résistance, tout en lui procurant une esthétique des plus originales. Le dégradé de couleur lui donne beaucoup de caractère.

Il est de forme octogonale, ses 8 faces permettent de s'adapter aux cuisiniers droitiers et gauchers. Léger et maniable, son utilisation est agréable, même sur des découpes prolongées.

Comment entretenir votre couteau japonais artisanal

- Le lavage se fait uniquement à la main, sans trop insister sous l'eau sur le manche (et ne faites pas tremper le couteau non plus)

- Une fois lavé,essuyez-le avec un chiffon doux puis rangez-le en vérifiant qu'il ne comporte plus aucune trace d'humidité

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