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Nouveau client ?Une pièce idéale pour découper de belles tranches de viande ou poisson
Lame 24cm structure San Maï : 3 couches d'acier entremêlées
Noyau en acier japonais Aogami Super : tranchant haute performance
Dureté : +/- 65 HRC - Très bonne rétention de son fil de coupe
Élégante finition martelée pour apporter de l'authenticité
Mitre en bois de pakka rouge - Manche en bois de cerisier clair
Forme ovale pour usage ambidextre - Couteau agréable et léger
Fabriqué au Japon par la coutellerie Tsunehisa
Couteau oxydable : voir tous nos conseils ci-dessous
224,90€
Indisponible
Matière | Acier Carbone |
Manche | Cerisier |
Lave-vaisselle | Non |
Couteau d'office japonais artisanal Tsunehisa Aogami Super martelé 8cm
Les couteaux japonais de cette série sont forgés par l'entreprise Tsunehisa. Professionnels comme amateurs passionnés peuvent profiter de leur durabilité et de leur efficacité. Le savoir-faire impliqué pour la production de ces couteaux découle directement des enseignements des forgerons d'antan, ceux-là même qui créaient les célèbres katana.
Ce couteau Tsunehisa AS 24cm présente une lame longue et fine qui est idéale pour découper des tranches de viande ou de poisson, et ce sur pièce imposante (sans os bien sûr). Sa lame s'insère sans effort dans les chairs pour une découpe nette et agréable.
Le couteau sujihiki présente une structure San Maï : ce terme signifie "3 couches" en japonais et indique que la lame dispose d'un cœur plus dur entouré d'une couche d'acier plus doux qui se replie sur ses deux côtés (d'où les 3 couches constatées).
Pour cette série de couteaux, c'est l'acier Aogami Super qui a été choisi pour son cœur de lame (on peut aussi le voir dénommer AS ou bien Blue Paper Steel Super). Il est produit par le célèbre sidérurgiste japonais Hitachi, qui fournit d'ailleurs de nombreux forgerons au Japon.
Cet alliage particulier est fortement enrichi en carbone, à hauteur de 1,5%. Cet élément essentiel d'une lame est là pour accroître la ridigité d'un alliage, sachant qu'un alliage plus rigide va tenir son tranchant durablement. Avec cette rigidité marqué, la lame atteint les 65 HRC sur l'échelle de Rockwell : c'est un très bon indice de sa solidité (la moyenne des couteaux occidentaux se trouvant entre 55 et 60 HRC).
Cet alliage particulier est onéreux, et peu de forgerons sait le travailler. En effet, si le forgeron n'est pas un expert en la matière, les pertes sont importantes, donc coûteuses.
Une fois la base de la lame formée, l'AS est enveloppé d'un acier plus doux que lui (dans le sens moins rigide), pour le protéger et équilibrer sa dureté. On voit d'ailleurs où les aciers se rencontrent au niveau du fil de coupe avec la fine vague aléatoire.
En finition, on peut parler de la belle surface martelée de ce couteau japonais (appelée Tsuchime en japonais). Cela lui donne du caractère et le martelage est unique sur chaque pièce.
Ce couteau sujihiki dispose d'un manche en cerisier. Cette essence dispose d'une bonne longévité et son aspect intemporel plaît à tous. Le cerisier est d'ailleurs un arbre sacré au Japon, et on le retrouve sur les différentes péninsules du pays. Il est la métaphore de la nature éphémère de la beauté des choses, mais aussi de la vie.
L'usage est ambidextre grâce à sa forme ovale.
Pour la mitre, on retrouve du bois de pakka (ou Pakkawood) de couleur rouge. C'est un matériau composite apprécié pour sa résistance et sa tenue. Il est créé à partir de résine et de bois laminé, garantissant une excellente résistance à l'humidité, mais aussi aux variations de température et aux chocs.
Pour combler l'espace entre le bois de pakka et la lame, de la pâte à bois a été ajoutée pour rendre le tout étanche et hygiénique (les aliments ne pourront pas s'insérer dans ce petit espace).
Nous conseillons un lavage manuel sous l'eau tiède avec un détergeant doux. Essuyez ensuite le couteau avant de le ranger. Lors du lavage, essayez de mouiller le manche le moins possible, car le bois n’aime pas être humidifié.
Le couteau est considéré comme oxydable, il sera donc important de le ranger sans trace d'humidité. Aussi, au fil de vos découpes, la lame pourra changer de couleur et c'est un processus normal ! En effet, l'acidité des aliments et l'humidité de l'air peuvent avoir un impact sur l'acier Aogami, qui réagit.
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