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Base San Maï : lame 21cm comprenant 3 couches d'acier
Acier SLD fortement enrichi en carbone (environ 1,6%) au cœur du couteau
63 HRC Rockwell : très bonne tenue du tranchant grâce à l'élément carbone
Lame à la belle surface polie et martelée - Mitre en bois de cognassier
Manche octogonale en olivier - Ses veines sont uniques sur chaque couteau
La jonction entre les deux bois est faite par un élégant anneau en micarta blanc
Forgé par Tadafusa à Sanjo, au Japon
Entretien soigné à réaliser : couteau enrichi en carbone
189,90€
Il en reste 6 en stock !
Expédition aujourd'hui !Matière | Acier San Mai 3 couches |
Manche | Olivier |
Lave-vaisselle | Non |
Couteau nakiri 16,5cm japonais artisanal Yuzo SLD olivier et cognassier
Couteau sujihiki 24cm japonais artisanal Yuzo SLD olivier et cognassier
La structure de sa lame est déjà un vrai avantage. Elle est dite San Maï, et elle est typiquement japonaise. Ces termes signifient "3 couches" en nippon. Pourquoi donc dit-on qu'elle présente trois couches ? C'est parce qu'elle dispose d'un noyau réalisé dans un type d'acier, et que ce dernier est ensuite entouré d'une couche d'un autre acier (qui se replie autour, d'où les trois couches constatées). L'avantage d'un mélange d'acier se situe au niveau de l'équilibre des propriétés desdits aciers. En effet, ils vont se compléter pour vous proposer une lame durable et performante.
Pour cette gamme de couteaux de cuisine Yuzo Hamono, le noyau de lame est réalisé en acier japonais SLD. Cet alliage est mis au point par le sidérurgiste japonais Hitachi, d'ailleurs connu à l'international pour ces produits de qualité.
A la base, l'acier SLD avait été conçu par Hitachi pour couper d'autres aciers. En effet, il devait équiper des machines capables de trancher différents alliages, et ce afin de produire diverses pièces (pour constituer d'autres machines). Cependant, Hitachi a compris qu'il serait dommage d'attribuer un unique but à un tel alliage et a décidé de l'utiliser pour les ustensiles de découpe.
Cet acier dispose donc de plusieurs avantages, comme par exemple son taux élevé en carbone, à environ 1,6%. Le carbone est un élément essentiel pour accroître la dureté d'un alliage, sachant qu'un alliage rigide va être tranchant plus longtemps qu'un alliage plus "doux". On peut mesurer la rigidité d'un acier grâce à l'échelle de Rockwell. Ici, notre couteau atteint les 63 HRC, preuve que le cœur de lame est extrêmement dur et que le couteau sera efficace durablement, même si vous enchaînez les découpes (car la moyenne des couteaux occidentaux se situe aux alentours de 58 HRC).
Cet acier dispose également d'environ 13% de chrome : cet élément lui assure une meilleure défense contre l'oxydation. Notez cependant que cet acier est tout de même considéré comme oxydable. En fait, c'est un acier hybride, entre l'inoxydable et l'oxydable, mais pour lequel on appliquera les conseils d'entretien d'un couteau complètement considéré comme oxydable.
La micro-structure de l'acier SLD est également à noter : elle est très équilibrée et on peut y voir les micro-carbures répartis de façon homogène. Cela permet d'augmenter sa résistance à l'usure et aux micro-fissures dues aux petits chocs qui peuvent avoir lieu pendant les découpes.
Comme dit précédemment, la structure San Maï nécessite d'avoir une couche extérieure supplémentaire. Ici, le SLD est couvert d'acier inoxydable qui va lui apporter un peu plus de résistance face à l'oxydation (sans pour autant le rendre inoxydable, ne l'oublions pas). Cette couche en plus assure un bon équilibre la lame, pour lui donner plus de "souplesse". Le couteau ne devient pas flexible à proprement parler, mais il est plus résistant face aux chocs possibles (car si l'acier est trop dur, il casse plus aisément).
Pour une finition impeccable et originale, la lame a été martelée avec des motifs croisés inédits. Le martelage est mis en valeur par une finition polie, qui permet également de protéger la surface de la lame est de la rendre moins poreuse.
Le manche de ce couteau est réalisé en bois d'olivier. On apprécie particulièrement son odeur fruitée caractéristique et ses belles nuances chaudes.Aussi, l'olivier est une essence durable et agréable au toucher. Ces veines sont uniques sur chaque couteau. On peut également préciser qu'il est très dense, ce qui le rend plus résistant au devant des chocs. Cette capacité le rend aussi plus étanche que la moyenne et il saura donc mieux se défendre contre l'humidité. On apprécie aussi sa capacité antibactérienne.
Avec sa forme octogonale, il s'adapte à tous les cuisiniers, qu'ils soient droitiers ou gauchers.
Il est complété par une mitre en bois de cognassier. Ce bois est également résistant, il complète bien l'olivier. Par exemple, il est capable de gérer au mieux les variations de température.
Un joli liseré en micarta blanc vient faire le lien entre les deux bois précédemment cités. Cela lui ajoute une petite touche originale et raffinée !
Enfin, et dans le but de combler l'espace là où la lame s'insère dans le manche, de la pâte à bois a été intégrée.
Ce couteau de chef Yuzo SLD Poli est forgé par la coutellerie japonaise Tadafusa, dont l'atelier se situe à Sanjo. C'est un couteau très polyvalent. Si vous ne deviez en choisir qu'un, ce serait celui-ci ! Il vous permet de parfaitement ciseler les herbes fraîches (persil, ciboulette...), mais aussi d'émincer les légumes (aubergines, carottes...), et même de hacher la viande. Ne l'utilisez pas sur des aliments trop durs comme la courge, les meules de fromages ou les os.
Pour la petite anecdote, notez que son nom japonais est "gyuto".
Comme dit précédemment, le couteau est considéré comme oxydable, il sera donc important de ne pas le laisser au contact de l'humidité de façon prolongée. Pour cela, on ne le laisse pas tremper dans l'évier et on ne le passe pas au lave-vaisselle.
Pour le préserver au mieux, il faut le laver à la main, avec une éponge ainsi qu'un produit doux. Lorsque vous l'avez lavé, essuyez-le correctement et rangez-le au sec.
Notez aussi qu'au fil du temps, la lame pourra changer de couleur et c'est tout à fait normal ! En effet, l'acidité des aliments et l'humidité de l'air peuvent avoir un impact sur sa couleur. L'alliage réagit de façon naturelle.
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