Couteau sakimaru takohiki japonais artisanal Naoki Mazaki Damascus biseauté 27cm corne claire
Le véritable savoir-faire japonais en exclusivité sur notre site
Lame damassée biseautée 27cm - 15 couches d'acier alternées
Noyau acier japonais Aogami 2 - Très bon taux de carbone à 1,2%
Excellente rétention du fil de coupe - Dureté Rockwell : 62 HRC
Manche ébène, forme octogonale - Virole + culot en corne claire
3 liserés brillants viennent lui donner une touche raffinée
Affûté manuellement sur une pierre à aiguiser par le forgeron
Fabriqué par le jeune forgeron Naoki Mazaki san à Sanjo, Japon
Couteau enrichi en carbone, nécessite un soin particulier (voir ci-dessous)
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Fiche technique
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Le couteau Sakimaru, véritable modèle japonais
Avec son style très traditionnel, ce couteau particulier est fait pour la découpe du poisson. Vous pouvez par exemple l'utiliser sur les grosses pièces de thon (pas sur les arêtes). Sa lame fine au tranchant développé s'insère facilement dans la chair, sans l'abîmer. Du fait de sa longueur, la lame vous permet d'être à l'aise sur les pièces de grande taille.
Notez que sa lame est en biseau, le tranchant est donc visible du côté droit du couteau. Cela permet une insertion facile et tout en douceur dans la peau et la chair. Ce modèle est donc adapté aux droitiers.
Une lame damassée efficace
La lame de 27cm est de construction damassée. Le damas est un procédé permettant de mélanger différents aciers pour constituer la lame. Il y a d'abord le noyau et des couches d'acier plus doux qui viennent l'entourer et le protéger. Une lame damassée est à la fois esthétique et unique, car toutes les couches superposées se voient sur la surface de coupe et elles sont différentes sur chaque couteau. Cela donne beaucoup de caractère aux couteaux qui en bénéficient, en plus de leur donner plus d'équilibre et de résistance.
Pour constituer le cœur du couteau, notre forgeron japonais utilise de l'Aogami 2 pour réaliser le centre du couteau (aussi appelé Blue Steel 2). Cet acier est produit par le sidérurgiste japonais Hitachi, très connu au sein de son pays et à l'étranger également. Il fournit des aciers de qualité aux forgerons qui les travaillent ensuite pour former leurs couteaux. L'alliage compte ici environ 1,2% de carbone, un élément essentiel pour garantir une bonne rigidité à la lame, et qui dit rigidité dit rétention du tranchant marquée. Vous espacez ainsi considérablement le besoin en aiguisage, malgré les usages. C'est un acier qui pourra endurer une finition rasoir de son tranchant, pour vous assurer des découpes encore plus agréables.
Par la suite, il prend deux parties d'acier damassé qu'il va assembler par dessus le noyau, pour former la lame finale. On obtient donc un couteau avec un fil de coupe en Aogami, pris en sandwich par un acier damas. Ce couteau est un hon-warikomi, c'est à dire que c'est un San Maï créé par le forgeron qui finit lui-même le couteau, de façon traditionnelle.
Le forgeron est un maître aiguiseur et il le réalise à la main, à l'aide de différentes pierres à aiguiser. Le résultat est impeccable.
Sa forme traditionnelle lui donne un vrai caractère, à la manière d'une épée japonaise ancienne. Au delà de ses caractéristiques techniques impressionnantes, ce couteau dispose d'un vrai atout esthétique.
Votre couteau s'aiguise à la pierre à aiguiser lorsque vous sentez que le besoin se fait sentir.
Un très beau manche original
Le lien entre la lame et le manche est fait par le machi : c'est cette partie d'acier supplémentaire qui fait l'emboitement des matières. C'est une tradition issue de la ville de Sakai et qui a pour but de parfaire le point d'équilibre du couteau, en jouant sur son centre de gravité. La prise en main est facilitée.
Le machi s'insère dans une virole en corne claire. C'est un matériau naturel, les reflets et tons peuvent donc varier et c'est normal.
Au centre du couteau nous avons un beau bois d'ébène à la teinte profonde, taillé en octogone. L'ébène est un bois dense, apprécié pour sa résistance à la déformation et pour sa durabilité. Il est même dit précieux. Comme c'est également un matériau naturel, ses veines seront différentes sur chaque modèle.
En bout de manche se trouve un culot en corne claire également, pour faire un rappel avec la virole. Le lien entre les différents matériaux du manche est fait par de fins liserés argentés, qui rajoutent de l'originalité à ce couteau.
Pour entretenir votre couteau, il faut suivre certaines règles. En effet, comme il s'agit d'un couteau au carbone, il est important de ne pas le passer au lave-vaisselle. Il faut le laver manuellement, sans le faire tremper dans l'évier. En effet, le carbone étant oxydable, la lame est plus sensible à la corrosion. De fait, elle peut changer de couleur au fil du temps, et c'est tout à fait normal ! Cela dépend des aliments découpés, de leur acidité, de l'humidité de l'air...
Une fois le couteau lavé, il faut l'essuyer avec un chiffon doux et le ranger à l'abri de l'humidité. Vous pouvez huiler la lame avec de l'huile minérale de temps en temps, pour la protéger.
Apprenez-en plus sur Naoki Mazaki
Le couteau sakimaru artisanal forgé est mis au point par le jeune forgeron japonais Naoki Mazaki san. Il travaille dans son propre atelier dans la province de Niigata au Japon. Son histoire, insolite, mérite d'être racontée : alors qu'il est jeune et ne sachant pas vraiment quel métier exercer, il se décide à faire le tour du Japon, sur sa moto, pour trouver sa voie ! Lorsqu'il s'arrête à Sanjo (province de Niigata), il reste fasciné par le travail des forgerons de la zone et décide alors d'en devenir un. Il réalise sa formation auprès de la marque Yoshikane durant 5 années, et décide ensuite de se lancer à son compte, dans un atelier plus traditionnel. Il forge désormais ses propres couteaux dans son atelier et aime particulièrement travailler le Shirogami 2 et l'Aogami, sur lesquels il aime laisser une finition traditionnelle, pour un côté plus rustique.
Le forgeron étant réputé, le délai moyen pour se procurer un couteau chez lui est de 2 ans ! On comprend donc combien son savoir-faire est reconnu.
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