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Lame 18cm structure dite San Maï à 3 couches d'acier superposées
Noyau en acier japonais Aogami #1 (environ 1,3% de carbone)
Tranchant marqué ultra longue tenue - Dureté : 63 HRC
Finition de lame Black Nashiji au visuel traditionnel
Manche en cognassier et mitre en ébène sombre
Forme octogonale ambidextre - Anneau en micarta blanc
Pièce forgée par l'exceptionnel Masashi Yamamoto à Sanjo
Couteau à fort taux de carbone nécessitant le plus grand soin
229,90€
Indisponible
Matière | Acier Carbone |
Manche | Cognassier |
Lave-vaisselle | Non |
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Ce santoku japonais 18cm Masashi Yamamoto dispose d'une lame à la structure dite San Maï, termes signifiant "3 couches" en japonais. La lame est construite d'un cœur en acier rigide qui est ensuite recouvert d'une couche d'acier plus doux, le prenant en sandwich. Cette structure permet d'équilibrer la dureté du noyau tout en le protégeant.
Le noyau de la lame est ici fait d'acier japonais Aogami #1 (aussi appelé BS1 ou Blue Paper Steel #1). Cet alliage est fabriqué par les aciéries mondialement connues Hitachi.
L'acier Aogami #1 contient environ 1,3% de carbone, l'élément indispensable pour accroître la dureté d'un alliage. Un alliage dur dispose d'un tranchant plus marqué et qui tient plus longtemps que la moyenne. Ici, la lame atteint 63 HRC sur l'échelle de Rockwell, preuve de son excellente rétention du tranchant et d'un fil de coupe performant.
C'est un alliage assez cher que seuls peu de forgerons maîtrisent. En effet, si l'acier Aogami #1 était mal manipulé, les pertes seraient importantes et onéreuses. Masashi Yamomoto san est un de ces forgerons experts dans le travail de cet alliage haut de gamme.
Le noyau rigide est ensuite entouré d'une couche d'acier soft iron repliée de chacun de ses côtés. C'est ainsi que les 3 couches du San Maï sont formées : le noyau est protégé et sa forte rigidité est équilibrée. L'acier soft iron est un alliage enrichi en minerai de fer, la lame du couteau est donc oxydable et demandera un entretien très soigné (voir nos conseils ci-dessous).
Notez que les couteaux Masashi Yamamoto dispose d'une pointe plus fine que la moyenne des autres couteaux. En effet, l'épaisseur de la lame rétrécie lorsqu'on arrive à son extrémité, pour la rendre plus flexible et donc faciliter les découpes, avec une sensation plus agréable et naturelle à l'usage. C'est une nouvelle preuve du savoir-faire de ce forgeron hors-pair. Cependant, faites bien attention de ne pas appuyer trop dessus, car la flexibilité a ses limites !
Une finition Black Nashiji traditionnelle a été apportée à la lame. Cela lui confère un aspect rustique, son esthétique est proche d'une lame brute de forge. Vous pouvez aussi voir de très fins kanji gravés et le poinçon du forgeron sur la partie supérieure de la lame.
C'est le cognassier qui a été choisi pour réaliser le manche du couteau. Le cognassier est un bois très dense qui résiste aux variations de température et à l'humidité. Cette essence durable se reconnaît par sa couleur claire.
La mitre du couteau a été réalisée en bois d'ébène pour compléter le manche. L'ébène est un bois précieux dont la teinte foncée contraste élégamment avec la clarté du cognassier. Les deux essences sont séparées d'un délicat anneau en micarta blanc.
Le manche a une forme octogonale pour convenir à tous les cuisiniers, gauchers et droitiers. Le manche épouse parfaitement votre paume pour vous offrir une maniabilité optimale et un parfait contrôle du couteau.
Comme indiqué ci-dessus, ce couteau japonais est un couteau oxydable en raison de son fort taux de carbone et de fer. Le passer au lave-vaisselle ou le laisser à tremper dans votre évier sont des actions à proscrire.
Ce couteau doit exclusivement être lavé à la main. Utilisez pour ce faire un savon doux et une éponge non abrasive sous une eau tiède et veillez à ne pas trop mouiller le manche. Une fois le couteau lavé, essuyez-le sans attendre avec minutie pour éliminer les traces d'humidité, puis rangez-le dans un endroit sec.
Notez que malgré le plus grand soin apporté au couteau, il est possible de voir sa lame changer de couleur au fil du temps. C'est tout à fait normal ! L'alliage réagit naturellement à des éléments tels que l'acidité des aliments ou encore l'humidité dans l'air.
Afin de voir perdurer votre lame et de la protéger, nous vous conseillons de lui appliquer de l'huile minérale de temps à autre.
Ce couteau santoku japonais est l'œuvre du forgeron Masashi Yamamoto qui fabrique de véritables couteaux d'exception. Ce jeune forgeron a appris le métier au sein de sa famille avec son plus grand frère. En 2013, il s'est senti prêt et alors décidé de développer son propre atelier.
Masashi Yamamoto imagine et crée des couteaux qui sont de superbes pièces uniques. D'ailleurs, il sont très appréciés pour la dureté de leur lame. Masashi san obtient cette dureté grâce à des traitements techniques et thermiques spéciaux. Malgré sa jeunesse, il enseigne déjà son art à deux apprentis ! C'est un forgeron au style unique qui le rend emblématique : Masashi Yamomoto a l'habitude de forger en tongs, souvent une cigarette à la bouche !
Couteauxduchef vous propose de nombreux couteaux Masashi Yamamoto !
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