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Nouveau client ?Un kiristuke d'exception forgé par Masashi Yamamoto !
Lame à la structure San Maï : 3 couches d'acier - Longueur : 24cm
Cœur de lame en acier Aogami #1 japonais à ≈ 1,3% de carbone
Tranchant efficace et longue tenue - Dureté Rockwell : 63 HRC
Finition de lame Black Nashiji traditionnelle et authentique
Manche en cognassier taillé de forme octogonale
Anneau en micarta blanc et mitre en ébène
Couteau artisanal forgé par l'incroyable Masashi Yamamoto à Sanjo
Ce couteau demande un entretien minutieux au vu de sa composition
299,90€
Indisponible
Matière | Acier Carbone |
Manche | Cognassier |
Lave-vaisselle | Non |
Couteau gyuto 24cm japonais artisanal Masashi Yamamoto BS1 Black Nashiji
Couteau universel 12cm japonais artisanal Masashi Yamamoto BS1 Black Nashiji
Couteau santoku 18cm japonais artisanal Masashi Yamamoto BS1 Black Nashiji
Couteau sujihiki 24cm japonais artisanal Masashi Yamamoto BS1 Black Nashiji
Ce couteau kiritsuke a été forgé par Masashi Yamamoto, jeune forgeron japonais moderne qui a appris le métier en famille. Réputé pour ses couteaux d'exception, il a développé son atelier en 2013 après s'être formé auprès de son plus grand frère.
Les couteaux qui sortent de sa forge sont de superbes pièces uniques très appréciées pour la dureté de leur lame. Masashi obtient cette dureté en appliquant aux lames des traitements techniques et thermiques spéciaux. Même s'il est toujours un jeune forgeron, Masashi san transmet déjà son savoir-faire à deux apprentis ! Forgeron atypique, il a un style unique qui le rend emblématique : il n'est pas rare de le voir forger en tongs, une cigarette à la bouche !
Votre couteau kiritsuke est composé d'une lame à la structure San Maï typiquement japonaise. San Maï signifie "3 couches" en japonais, indiquant bien comment la lame se construit. Elle contient un cœur en acier rigide qui est recouvert d'une couche d'un acier peu plus doux, venant le prendre en sandwich.
La couche externe vient rendre la lame plus flexible tout en protégeant le noyau. On ne parle pas ici de flexibilité au sens pur mais plutôt de souplesse d'usage : la lame devient moins sensible à la casse.
Masashi Yamamoto a réalisé le cœur de la lame en acier Aogami #1 (aussi appelé Blue Paper Steel #1 ou BS1). Cet alliage japonais est fabriqué par les aciéries Hitachi qui sont mondialement connues.
Cet acier est très enrichi en carbone puisqu'il en contient environ 1,3%. Le carbone est l'élément crucial pour augmenter la dureté d'un alliage. Plus un alliage est dur, plus il conserve son tranchant longtemps. Votre couteau kiritsuke a une dureté de 63 HRC, ce qui montre bien que son tranchant est performant et qu'il tient durablement.
C'est un alliage onéreux qui peut engendrer des pertes importantes s'il est mal manipulé. Sa mise en forme est en effet réservée aux forgerons le maîtrisant afin d'éviter des pertes coûteuses. Masashi san est un de ces forgerons experts dans le domaine.
L'acier rigide est ensuite recouvert par une couche d'acier soft iron repliée de chaque côté du cœur. Les 3 couches de San Maï sont bien formées, le cœur est équilibré et protégé. Cet acier soft iron est enrichi en minerai de fer qui, allié au cœur en carbone, rend la lame oxydable et demande un entretien très soigné de votre part (voir nos conseils plus bas cette sur page).
Notez que les couteaux Masashi Yamamoto dispose d'une pointe plus fine que la moyenne des autres couteaux. En effet, l'épaisseur de la lame rétrécie lorsqu'on arrive à son extrémité, pour la rendre plus flexible et donc faciliter les découpes, avec une sensation plus agréable et naturelle à l'usage. C'est une nouvelle preuve du savoir-faire de ce forgeron hors-pair. Cependant, faites bien attention de ne pas appuyer trop dessus, car la flexibilité a ses limites !
Masashi Yamamoto a apporté une finition Black Nashiji traditionnelle à la lame, technique lui conférant un aspect authentique et rustique, comme si elle n'avait pas été polie. La lame a une teinte noire qui fait penser à une lame brute de forge. Enfin, elle comporte des kanji finement gravés ainsi que le poinçon du forgeron.
Un manche à la forme octogonale équipe le couteau. Sa prise en main est idéale car il épouse votre paume. La manipulation est facile et vous avez le plein contrôle du couteau. Aussi, cette forme s'adapte à tous les cuisiniers, gauchers et droitiers.
Ce manche a été fait en cognassier, bois clair résistant bien aux variations de température et à l'humidité. C'est une essence à la longue durabilité.
Le cognassier est séparé de la mitre par un délicat anneau en micarta blanc. D'ailleurs, la mitre est faite en ébène sombre et contraste avec la teinte claire du cognassier.
Nous l'avons indiqué ci-dessus, le couteau demande un soin tout particulier car la lame est oxydable. Il est donc interdit de le laisser tremper dans votre évier ou de le passer au lave-vaisselle.
Ce couteau se lave impérativement à la main sous de l'eau tiède, avec un savon doux et une éponge non abrasive. Prenez soin de ne pas trop mouiller le manche. Essuyez le couteau immédiatement après lavage en veillant à bien éliminer toute trace d'humidité. Rangez ensuite le couteau dans un endroit sec.
Vous pourrez remarquer que la lame peut légèrement changer de couleur avec le temps : c'est tout à fait normal ! La forte présence de carbone et de fer dans sa composition rendent l'acier naturellement réactif à l'acidité des aliments, l'humidité dans l'air...
Afin de protéger et de nourrir la lame, nous vous recommandons de lui appliquer quelques gouttes d'huile à l'aide d'un chiffon doux.
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