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Nouveau client ?Le couteau nakiri de qualité supérieure forgé par un artisan traditionnel
Lame damassée haut de gamme : Aogami #2 et fer superposés
Noyau en acier japonais Aogami #1 enrichi en carbone (1,3%)
Dureté de 63HRC Rockwell : tranchant durable et performant
Damas laminé entièrement à la main - Martelage authentique
Manche en bois d'ébène avec mitre et culot en corne de buffle
Taillé de forme octogonale pour une prise en main ergonomique
Fabriqué artisanalement par Kisuke Manaka à Kasukabe - Pièce unique
Couteau en carbone : requiert un entretien minutieux
1644,90€
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Expédition aujourd'hui !Matière | Acier Carbone |
Manche | Ebène |
Lave-vaisselle | Non |
Couteau de chef 21cm japonais artisanal Kisuke Manaka Enn en cognassier avec 3..
Kisuke Manaka est un forgeron japonais représentant la cinquième génération de la coutellerie Manaka Hamono, fondée dans les années 1870 à Kasukabe. C'est une ville de la préfecture de Saitama, au Japon, dans laquelle Kisuke Manaka a appris à maîtriser tous les aspects de la forge.
Il a rejoint la famille Manaka par mariage et c'est à ce moment-là qu'il s'est intéressé à la forge. Son beau-père, membre de la quatrième génération, n'était pas forgeron, mais un revendeur de couteaux. Il vendait des lames qui n’étaient pas entièrement fabriquées à la main tout en se basant sur la réputation de la forge Manaka. Ne pouvant pas apprendre auprès de lui, Kisuke Manaka s'est formé de manière autodidacte en utilisant les outils et les livres laissés par son grand-père par alliance, issu de la troisième génération.
Pour perfectionner son art, Kisuke Manaka s’est ensuite entouré de maîtres forgerons japonais renommés, tels que Hinoura Tsukasa, distingué par de nombreux titres, dont celui de Maître Artisan Traditionnel.
Aujourd’hui, Kisuke Manaka maîtrise chaque étape de la forge, y compris des techniques avancées comme le warikomi sur acier inoxydable. Sa gamme la plus prestigieuse, Enn, reconnue pour son travail d'une qualité exceptionnelle, n’est plus produite, ce qui ajoute encore plus de rareté et de caractère à ce couteau japonais !
Ce couteau artisanal japonais est doté d'une lame damassée, réalisée en forgeant un noyau en acier rigide entouré de multiples couches d'acier plus souple. Cette technique permet d'assurer une protection au cœur de la lame tout en équilibrant sa structure pour prévenir la casse lors de l'utilisation.
Le damas de cette lame a été entièrement forgé à la main par le maître forgeron Kisuke Manaka. Il excelle dans l’art du laminage du damas, un travail exigeant une grande précision. Pour créer ce damas, il utilise la technique traditionnelle du Warikomi : l’acier souple est chauffé puis fendu en deux pour y insérer une barre d’acier rigide, avec l’ajout de poudre spéciale, avant que les matériaux ne soient soudés ensemble. Ce processus, qui demande un temps considérable, est réalisé exclusivement selon des méthodes traditionnelles, assurant une qualité exceptionnelle à chaque lame !
Le noyau de cette lame est en acier japonais Aogami #1, également connu sous le nom de Blue Paper Steel #1. Cet acier de haute qualité est produit par le renommé sidérurgiste Hitachi, reconnu mondialement. Son nom, "papier bleu", fait référence au conditionnement utilisé lors de sa fabrication.
L'alliage Aogami #1 contient environ 1,3 % de carbone, élément qui augmente considérablement la dureté de l'acier (sachant que plus cette dernière est élevée, plus le tranchant est efficace). Ce couteau damassé est d'une dureté de 63HRC sur l'échelle de Rockwell, offrant une performance de coupe supérieure et une excellente rétention du tranchant !
Le tranchant de cette lame a été minutieusement affûté à la main par le forgeron, qui utilise différentes pierres à aiguiser pour obtenir une finition précise et optimale.
Pour compléter le damas, le noyau en acier est entouré de plusieurs couches de fer et d'Aogami #2, des aciers plus souples qui équilibrent la dureté du cœur. Ces couches protègent également la lame contre les micro-chocs. Tous les aciers utilisés étant oxydables, un entretien soigneux est essentiel pour éviter la corrosion.
Le damas ne se limite pas à ses fonctions pratiques, c'est aussi un atout esthétique ! La superposition des aciers crée de fines vagues aux motifs aléatoires sur la partie inférieure de la lame, ajoutant une touche visuelle unique.
La lame présente une finition brute de forge, conférant un aspect sombre et authentique à ce couteau de cuisine japonais. Cette finition traditionnelle laisse la lame non polie, renforçant le caractère artisanal de votre couteau nakiri. La surface est également martelée avec de légers motifs en croix pour une touche supplémentaire d'authenticité, et des kanji ont été gravés à la main par le forgeron, faisant de chaque couteau Kisuke Manaka une pièce unique !
Le manche de votre couteau artisanal est réalisé en bois d'ébène, une essence exotique robuste et durable. Avec sa forte densité, elle résiste très bien face aux chocs et à la déformation. Ce bois est apprécié pour ses teintes sombres et son veinage qui est unique à chaque couteau !
Une mitre en corne de buffle noire relie harmonieusement la lame au manche, ajoutant robustesse et une touche distinctive à ce couteau nakiri japonais. Le culot, également en corne de buffle, est orné d'un anneau argenté qui apporte une élégance supplémentaire au manche de ce couteau artisanal japonais.
Le manche est façonné en forme octogonale, ce qui le rend confortable pour tous les cuisiniers, droitiers comme gauchers. Cette forme offre une prise en main ergonomique, assurant une maniabilité optimale, même lors des longues sessions de cuisine !
Enfin, de la pâte à bois a été appliquée à la jonction entre la lame et le manche, comblant les petits interstices pour garantir une étanchéité parfaite et empêcher l’infiltration d’eau ou de résidus alimentaires.
Pour entretenir votre couteau en carbone, lavez-le exclusivement à la main avec une éponge douce et un détergent non abrasif, en veillant à ne pas mouiller le manche. Après le lavage, séchez soigneusement la lame avec un chiffon propre pour éliminer toute humidité, puis rangez le couteau dans un endroit sec. Il ne faut pas le mettre au lave-vaisselle, ni le laisser tremper dans l'évier.
Au fil du temps, la couleur de la lame peut légèrement changer, ce qui est tout à fait normal ! Cette variation est une réaction naturelle du carbone face à l’acidité des aliments ou à l’humidité ambiante. Elle n'affecte pas les performances de coupe de votre couteau Kisuke Manaka.
Entre les utilisations, il est recommandé de garder un essuie-tout à proximité pour essuyer la lame. Pour une protection supplémentaire, vous pouvez occasionnellement appliquer un peu d’huile minérale sur la lame.
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